Le ciel s'empara de la terre,
les étoiles foncèrent en nuée par millier,
les femmes prièrent et les marie n'y croyaient guère,
les poètes ennuyés, n'écrivaient plus,et regardaient la fin saoul,
les enfants continuaient de jouer dans les plaines,
les cygnes chantaient tous à l'unisson et les nuages laissaient place aux sons,
les amants s'embrassaient, d'un des rares baiser sincère,
nous ne sommes plus et le silence et né.
Écrit par NoName
en buvant le fond d'une bouteille de coca ( mes freres me laissent toujours le fond ) je me suis mis à penser que la vie ressemble souvent à cette bouteille de coca, qu'il ne valait pas mieux rester au fond sinon personne n'en voulait
Catégorie : Amitié
Publié le 12/08/2015
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Commentaires
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Posté le 13/08/2015 à 09:02:54
Beau poème dommage qu'il y est tant de grosses fautes de conjugaison notamment sur les pluriels | |
daydreamerlba |
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