Métro boulot goulot,
aliéné elle boit comme un forcené,
faut des nerfs solides pour vivre dans le sordide,
mam transmet son vice à son fils... qui à son tour glisse,
le même topo sur le même tempo;
les même pov fille,
aux mêmes tics symptomatiques,
une symphonie sur les chroniques d'une femme,
pas celle que l'on nique mais que la vie asphyxie,
que les cigarettes rendent asph...matique, hermétique,
et la vie à des dents-de-scie et les si ne l'aiment pas;
si j'aurai des denrées à mettre sous sont seuils...
mais je n'avais pas vu le diable sous ces yeux;
et mon orgueil, est en deuil,
seul,je la vois franchir le seuil,
d'ici au pied d'Eden,son âme s'étein si,
perdu dans la fantaisie,*
et j'écris crier dans le vide,
mais mon Dieu a déjà fait son devis;
on n'a que deux vies,
l'amour et la haine,
les peines et les joies,
c'est ain'si-gne,la'haut... j'ai vu les esquisses;

chimère, métro, goulot,
je regarde à travers un hublot,
mon horizon n'a pas de fin,
il n'y a plus d'oraison dans mon cœur,
les mots sont ma prison, limité par ma raison;
mon destin est façonné par ce qui m'a modelé,
une pâte à modeler,mon âme et scindé,
si vous saviez tout ce que mon écriture ne peut déverser,
mes vers set ne peuvent être décelés,
lésée mon poids et léger mon âme et lesté,
je fais du morse à des porcelets*,
et mes rêves sont de belle poupée....russe
traîné ou écrire,
sécurité ou vie de bohème,
j'ai vu la gravité tenter de m'aplatir,
l'alcool dessine des ruisseaux,
me donne la paix du pourceau*,
loin des balancements du berceau,
loin de l'écume des eaux,
je décuve mes songes,
me rongent les ongles,
loin des prairies qui ont bercé mon enfance....

la seule raison pour là qu'elle on ne peut voir l'avenir, c'est que la plupart se flingueront en le voyant advenir, perdu dans des fresques, entre moi et ses braise, je fais le vide,perdu dans l'enfer d'Ovide.