Je ne puis te parler d'universalité toi qui cherches l'indifférence
Il m'est impossible au fond de me connaître sans Elle
Elle là-bas qui regarde le monde assise au bord des étoiles
Je ne sais qu'effleurer son visage Pâlir les traits de ses yeux
Je n'ai pas la force de mentir
L'universel n'est pour moi qu'un silence
Tout mot revêt la couleur nocturne de l'océan
Le reste n'est qu'un reflet versé dans le puit de son âme
Je ne sais que parler d'elle quand je parle de moi
Ce que nous avons en commun n'est qu'un regard perdu dans la nuit
Un cri qui déchire l'espace et le temps de nos vies
Tout un monde
Je ne sais qu'une chose
C'est elle qui m'entraine dans l'aube
Mon univers entier s'échappe au loin dans l'horizon
Vers la courbe de ses yeux
Écrit par Naliwe Lewan
"Ces fantômes de chants l'aurore les nettoie
Et la main du soleil revenu les disperse Quand le grand jour m'en a lavé de son averse Ce que j'en puis savoir c'est qu'ils parlaient de toi" Catégorie : Amour
Publié le 27/10/2014
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de Naliwe Lewan au hasard |
Commentaires
Annonces Google |