je ne peux pas t'oublier ma mère,
Ta vie est comme le feu
Elle s'est consommée
Ma boîte aux lettres s'est rouillée
Mon coeur est désespéré
C'est le destin qui nous a séparées
A ta mémoire,
Quand je vois le facteur qui passe...
Nesic Nada HIVART
Écrit par NESIC Nada HIVART
Poétes de temps présent
Voix de femme LA PENSEE UNIVERSELLE 1987 Catégorie : Amitié
Publié le 07/07/2010
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Commentaires
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Posté le 07/07/2010 à 11:51:42
Émouvant...Mais je pense, que l'on ne sépare jamais complètement une mère de son enfant...Dans l'un...l'autre vit ! amitiés Louann |
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louann |
Posté le 07/07/2010 à 15:56:55
bonjour NESIC Nada HIVART, "Le temps passe" en effet, mais nos blessures pour autant ne s'effacent, peut-être sont-elles justes un peu plus lasses ... à très bientôt |
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marie-ange-old |