Une grande toile tissée de solitudes
Qui vibre aux ondes invisibles en constante vicissitude
Tapissant le ciel de vomissures fantomatiques
Qu'on ne peut voir que par une fenêtre en plastique
Fresque intangible à la frontière des ténèbres
Aussi froide qu'un hiver funèbre
Car il n'y a pas de chaleur dans ce monde virtuel
Que la glace qui me renvoi ces images sans naturel
Un monde qu'on ne peut toucher, sentir ou goûter
Abstractions irréelles me faisant douter
Tout mon être et mes sens sont déroutés
Au final une vision bien fade hors de la réalité
Je préfère la douceur du contact de la peau
Le frisson dans mon cou d'un souffle chaud
Le goût du vin rouge dans des lèvres frémissantes
Et la poésie du monde pour bercer ces moments tendres…
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