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Désireux de laisser, à raison ou à tort,
A la postérité quelque chose de fort,
De ce pas je m'en vais questionner le trésor
Sur l'état de santé de tous mes coffres-forts !
Mais mon pauvre monsieur, vous n'avez de fortune !
Votre argent en ce lieu a fondu sous la lune.
Vous ne laissez bien mieux que dettes formant dune
Et n'avez que les yeux pour pleurer l'infortune !
Puisque je suis poète alors donc mes écrits
Je pourrais sur le net les poster en un pli
Dont la moindre facette effacerait l'oubli.
Vous me faites ma fête en termes de mépris !
Que donc alors léguer, mon corps à la science ?
Mon docteur attitré je questionne en ce sens.
Je voudrais bien tirer un peu de votre essence
Mais tout est si usé que j'ai peu d'espérance !
Je le quitte meurtri, mon devenir me presse.
Un homme me sourit, de moi il s'intéresse.
Il s'approche et me dit que m'attendent ses presses.
De sa distillerie mon sang serait l'ivresse !
*
Je me déteste
Écrit par Morch
La vie est une traîtrise, l'amour est son poison
Catégorie : Triste
Publié le 20/04/2008
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Trés beau poême j'aime beaucoup!La fin est un peu morbide mais bon!^^ Ho par tes poêmes tu n'es pas oubliés!^^ |
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lo |
Merci beaucoup de ton soutien, lo. | |
Morch |
Très bel écrit ! Les écrits restent dit-on .C'est sûr que l'on ne s'apprécie pas tout les jours ,mais il faut apprendre à se supporter .Quant à livrer son corps à la science ,j'y pense aussi ,mais je ne suis pas pressé ^^ ! Courage . | |
Alexandre-glaucos |
Merci Alexandre. | |
Morch |
Et moi je t'aime. | |
Ax-L |
10 5_20'1 9 13 5_13 15_1 21 19 19 9 | |
Morch |
Magnifique... | |
pichounne |
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