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Il y a dix-sept ans j'avais écrit pour toi
Quatre strophes de vers, toast à ton avenir,
Hommage à ta naissance et ton joli sourire,
Cadeau à tes parents, à leur immense joie.
Et pourtant douce enfant je ne connaissais pas
La couleur de tes yeux ni l'éclat de ton rire,
La blancheur de ta peau pareille à mon Elvire,
A la jeune maman qui te porta neuf mois.
Tu étais si petite au début du printemps
Lorsque je pus enfin admirer le diamant
Posé sur ses genoux, accroché à sa main.
Les méandres du cours sinueux de la vie
Ont pourtant ravivé l'espoir ténu et fin
De vous revoir un jour, de vous aimer aussi.
*
Les années ont passé, tu es grande déjà.
Je repense à ces mots que je n'ai pu te dire
Alors je prends ma plume afin de les écrire.
Et en faire un poème au parfum délicat.
Je voudrais tant pouvoir te serrer dans mes bras
Comme j'aurais voulu te regarder grandir,
Te border chaque soir et d'amour te couvrir,
Guider tes premiers pas en te tenant les doigts.
Je t'aime comme si tu étais de mon sang
Alors je te promets toujours d'être présent
Quelque soit ton appel, quelque soit ton chagrin.
Accepte s'il te plaît que j'entre dans ta vie
Pour pouvoir simplement en être le gardien,
Permet-moi de t'aimer si tu en as envie.
Écrit par Morch
La vie est une traîtrise, l'amour est son poison
Catégorie : Amour
Publié le 01/10/2008
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quel magnifique cadeau, et je suis sûre qu'elle acceptera, un gentil papa tel que toi... | |
louann |
Délicat poème ... Je comprends. | |
Nighty |
Elle est fille de l'amer, Blessée par le manque d'un père, Mal aimée par Monsieur C. Longue liane gracile, A la fois forte et fragile, Tu as su l'apprivoiser... Je t'aime. |
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Ax-L |
Très beau texte, très touchant. | |
Sylvain |
Elle est le fruit que j'aurais aimé cueillir aux branches de ton amour ma douce Axelle. | |
Morch |
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