Comme le verre de larmes à demi-versé
Est devenu moitié vide entre deux soirs
La plénitude qui m'aura chatouillé
Espoir perdu, accomplissement illusoire.
Je n'aurai offert à la première nuit
De la séparation réjouie
Des larmes douces qui se posent
Entre les bras, parmi la prose...
Un verre à moitié vide ou plein
Et l'eau qui s'en évapore.
Le constat de ce long chemin
De porcelaine annonçant la mort.
Un vers qui n'a rien à changer
C'est un vers de moitié effacé.
La vie est complexe, je le sais
Simplement, je choisis de l'aimer.
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Commentaires
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Posté le 23/02/2012 à 22:16:54
Très beau. Tu sais, j'enlèverais la strophe " Le morceau de musique... " J'ai l'impression qu'elle ne sert pas à ton poème. Après, il sera parfait. |
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Iloa Mys |
Posté le 23/02/2012 à 22:36:15
C'est bien apprécié marie-ange, merci. C'est une excellent critique Iloa, la strophe ajoute une image, mais elle ne dégage pas autant que le reste, c'est vrai. Je me permets de l'éditer dès maintenant. :) |
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Moonsorry |
Posté le 23/02/2012 à 22:44:01
;-) | |
Iloa Mys |
Posté le 24/02/2012 à 04:08:44
Très beau, chapeau, Moonsorry ! | |
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