Un pauvre curé, dans sa paroisse,
S'occupait au mieux de ses ouailles.
De part sa belle prose efficace,
Il était bon pour ce travail.
Arriva le jour où une femme,
Peu encline à se dévoiler,
Dans l'embarras de ses charmes,
Elle voulût tout lui confesser.
Bien qu'habitué à ces mots,
Notre curé fût très troublé.
L'amour suintait de sa douce peau
Et le désir fit son entrée.
Des idées salaces pleins la tête,
Il tenta de reprendre le dessus.
Son âme sainte était à la fête.
Il en avait honte, voire bien plus.
Son dieu à nouveau dans le cœur,
Il comprît la situation.
Il vit qu'il parlait du bonheur
Mais n'avait pas d'échantillon.
Il sortît vite, saisît la dame
Et embrassa la demoiselle.
« Merci d'avoir comblé mon âme.
Dieu, pardon, le bonheur m'appelle ! «
Merci à la Nympho pour son coup de ... main ^^
Écrit par Milouse
Si la folie est un bon point, je suis le meilleur élève
Catégorie : Drole
Publié le 02/05/2008
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quelle fin! mdr^^ très beau poème... j'adore et hop dans mes favoris |
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tit-ange-perdu |
Superbe poème, j'aimerai avoir ce bonheur..... | |
Michka |
Très beau j'aime beaucoup! comme d'habitude!^^ | |
lo |
lol, très original et rigolo, un curé défroqué ! Il a bien raison d'être revenu sur le chemin de l'amour charnel et non spirituel ! | |
Alphaa |
très parlant mais où trouves tu cette imagination débordante... | |
delinda27 |
salut l'un de mes auteurs préferés voila un texte à mourir de rire |
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lolypop |
la fin est pas très poétique mais m'a fait beaucoup rire !! | |
Mr GB |
Amusant! | |
la nympho |
"salaces" avec un "c"... | |
e2le |
Merci e2le, je n'avais pas fait attention. Merci ^^ |
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Milouse |
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