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Le coeur gros, hors des villes je m'asseois sous l'arbre
J'aperçois sur les branches des oiseaux de marbre
Qui contemplent les feux de la cité, et moi
Je me détourne comme tu es encore là-bas
Mais où aller ? la planète est si petite
Et ton ombre est si géante qu'elle ne me quitte
Même aux tristes lueurs des autres tu m'assassines
Je meurs à chaque souvenir qui se dessine
Je tombe dans les abîmes qui entourent ton nom
Qui me fouttent le vertige et me flinguent la raison
Et me noient dans des verres de whisky sans goût
Il n'y a rien de drôle quand j'ose penser à nous
Mais j'ai gravé un rêve sur le tronc du chêne
La sêve s'est écoulée, vois-tu comme il saigne ?
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Commentaires
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Posté le 20/10/2008 à 14:52:52
magnifique écrit...J'adore les 2 derniers vers ! | |
louann |
Posté le 24/11/2008 à 06:52:21
Chagrin d'amour si bien écrit ! | |
Véro56 |
Posté le 26/11/2008 à 00:36:03
Mider, l'histoire était grandiose et je dois dire que les derniers vers sont comme un dénouement surprenant, très beau... | |
L'ange Vengenza |