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C'est le vide qui envahit la nuit
Comme le froid qui inonde ma chambre
L'obscurité surprend par sa beauté glacée
Et on assiste à l'absence du Temps meurtrier
Un vide, un cauchemar de cendre
Un souffle, une bouffée manque à la vie
Je pense aux frères de la Poésie
Qui mangeaient des nuages sans rendre
Au soleil les millions de mots qu'ils lui devaient
Ces anges maudits, sacrifiés pour la liberté
Bouffés pas l'ennui pour descendre
Les marches de l'ivresse de la folie
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Commentaires
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Posté le 16/01/2008 à 21:32:15
Posté le 16/01/2008 à 22:46:33
Merci. Reviens quand tu veux... | |
Mider |
Posté le 17/01/2008 à 16:57:51
Ça me fait penser un peu à un cauchemar (lol) mais heureusement que tu l’as mélangé avec ta générosité ce qui rend le poème très agréable à lire. Je te souhaite tout de même une Excellente Nouvelle Année 2008, remplie de Bonheur. | |
MASTAHA |