Des larmes de tristesse,
D'être loin des caresses.
Des larmes de peines,
Pour ceux que j'aime.

Une haine de cette distance,
Une envie de cogner l'absence.
Mon absence de moi même,
Dans ces longues semaines...

Ces deux années de perdues,
Ces deux années....de foutues.
Un vie de scie et de ferraille,
A remuer un corps, mes entrailles.

Une envie de rejoindre ma vie,
Envie de rejoindre mes amis,
Envie de parler avec la famille,
Envie de rire, devant une bière, tranquille.

Les week-ends sont comme des parenthèses,
Libre de pensées, de sourire, d'amitié,
Avec une certaine et belle complicité,
Les week-ends sont comme des parenthèses...

Pour ma famille, qui me manque et que j'aime,
Pour mes amis, qui ont une empreinte à jamais dans ma vie.
Pour ce club, qui me donne tellement en échange.

Mickael