Il se réveilla de bon matin empli d'entrain,
Malgré son esprit détourné de toute triste pensée,
Il se mit à méditer sur le parcourt qu'il avait achevé.
C'est en observant ses draps de satin
Et en réfléchissant à son travail quotidien,
qu'il se vit être transporté au loin,
Dans le monde dont il avait toujours rêvé.
La douce brise qui le caressait
Était composé d'air frais et pur,
Du haut de ce qui semblait être un sommet.
Tandis qu'il s'abandonnait à la nature,
Il contempla les royaumes qu'il avait créés,
Mais dont il n'avait jamais parlé.
A l'apogée de ce qui était un bonheur inespéré,
Il aperçu un homme lui faisant signe d'approcher.
Pris par la curiosité il entreprit de se diriger,
Vers cette personne qui suscita son intérêt.
C'est lorsqu'il parvint à lui,
Qu'un bruit sourd et désagréable retentit.
Progressivement l'homme inconnu et ce monde disparurent.
En sursaut,
L'homme se réveilla,
Se rendant ainsi compte qu'il n'était pas
Dans ses draps de satin,
Ni dans le royaume qu'il avait atteint.
C'est alors qu'il descendit du train,
Pour aller s'enfermer toute la journée,
Dans un bureau,
Pour travailler.
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ET BIEN , AU MOINS LÀ! LOIN DE L'ÉTRANGETÉ, IL CESSA D'ÊTRE TRACASSÉ VIV' LE TRAVAIL , AU GAI! IL N'Y A QU'çA D' VRAI! |
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