Là où le sadisme, la cruauté, le mal
Et la haine ont acquis une place royale
Je laisserai mon corps répandre l'infernal
Et mon âme à jamais restera Saint Graal.
Ce qui s'assemble et ne fait qu'un je briserai
Rien ne fera cesser cet ultime massacre
Cette flamme qui brille en chacun j'éteindrai
A droite de Satan je recevrai le sacre.
Au contrair' de la lun' je reflète l'obscur
Au contrair' de la vie je reflète l'espoir
Au-delà de la vie mon cœur restera pur
L'au-delà de la mort restera illusoire.
La vision de la vie chez l'homm' n'est que nuances
Toutes différentes, par la vie sont reliées
Nul ne peut deviner ce que les autres pensent
Pacifiste, la mort empêche de penser.
Prisonniers de mon cœur sont ceux que j'ai aimé,
Que j'aime et qui un jour partiront en silence
Vivant comme étant né et comme je mourrai :
Dominé par les cris présageant la souffrance.
Heureux vivra l'inculte, embellissant la vie,
priant des forc' encore inconnues selon lui,
Espérant un jour accéder au paradis,
a la gauche du père, droite du saint esprit.
Écrit par MatthieuCHAUMEIL
On ne pense à rien quand on est Tout, mais on peut explorer une partie de ce Tout quand on est presque rien.
Catégorie : Divers
Publié le 13/05/2010
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de MatthieuCHAUMEIL au hasard |
Annonces Google |
Beaucoup de certitudes sur l'avenir post mortem de l'homme. J'avoue que je ne me pose pas la question de connaitre mon sort après la vie . Amitiés | |
TANGO |