Entre les maîtres du pouvoir
le pouvoir de l'argent
et la gente d'artifices
quelle place reste-t-il
au vivant qui aspire
à naviguer libre
dans l'amplitude
d'un cœur simple ?
Quand l'amour est en soi
il se pose sur la drisse
d'une voix dans l'écoute
du souffle il arpège
le long des voilures
et précède le changement
d'amure — les pensées
le ramènent à lov' allure
La vie suit son cours
nous sommes son estuaire
Écrit par Margot de Broceliande
Il suffit de peu de chose, presque rien : une
syllabe, une consonne et je deviens tempête ; un geste de l'arbre, et cent racines me lient... R. Kowalski Catégorie : Divers
Publié le 11/05/2013
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Margot de Broceliande au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 11/05/2013 à 18:48:58
un poème intelligent que j'ai apprécié. | |
amnous |
Posté le 11/05/2013 à 23:22:23
TRÈS AGRÉABLE FLUIDE ÉLÉGANT,,,,, | |
flipote |
Posté le 12/05/2013 à 18:23:54
Merci pour vos avis, amnous, flipote ! | |
Margot de Broceliande |
Posté le 13/05/2013 à 12:50:05
Un écrit qui donne toute la place à l'humain...bravo ! amitiés |
|
Yuba |
Posté le 14/05/2013 à 11:31:18
J'essaie d'intégrer l'humain dans la poésie... Merci yubanca. |
|
Margot de Broceliande |