Elle avait les yeux d'un azur si profond
Que mes mains tremblaient de croiser son regard
Et c'est dans son absence que je me morfonds
Priant pour la voir au détour d'un hasard
Son souvenir me suit par-delà les étoiles
Tandis que je rêve de ses lèvres sur les miennes
De tenir sa main, mon sourire se dévoile
Chaque instant près d'elle me fait un peu plus sienne
Elle possédait dans sa main une clé unique
Gardienne d'un secret que je lui eus offert
Celle d'un cœur charmé, fermé à tout public
Où seul l'amour avait su planter ses serres
Chaque instant je me surprends à rêver d'elle
Et chaque fois je soupire de la savoir si loin
Le regard perdu, pointé vers le blanc ciel
J'enferme ma douleur, la cache dans un coin
Et quand je la serre, la chaleur m'envahit
Tout autour disparaît, tout c'est envolé
Il n'y a plus qu'elle, et sa voix, mélodie
Et la quiétude au parfum de liberté
Écrit par Malyka
"Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure" Guillaume Apollinaire Catégorie : Amour
Publié le 19/01/2014
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