Petit chat, toi tu ne quittes pas ta maîtresse
Tu ne l'insultes pas, ne la voies en traîtresse
Traîtresse de notre amour
Traîtresse du mot toujours
Petit chat, quand tu quittes ton coussin vivant
Tu sais qu'à ton retour encore, il t'attend.
En vérité c'est bien normal
Car c'est moi qui ai trahi
Mon coussin doré
C'est moi qui lui ai fait du mal
Aujourd'hui c'est fini
À mon tour d'expier.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Amour à découvrir... | Poèmes de M-faits au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 02/10/2011 à 21:17:07
 |
bonsoir M-faits, ce très bel écrit m'a fait penser "à la femme du boulanger" avec pomponette, j'ai beaucoup aimé lire et relire ton écrit qui est fort en émotion, et qui cache une grande douleur, en la tendresse d'un chat, comme souffleraient le chaud et le froid en même temps ... amitié poétique |
marie-ange_old2  |
Posté le 03/10/2011 à 04:42:06
 |
Miawmix, c'est tout ce que que j'ajouterais pour cette Boulangère ;).c |
Lenigmatique  |
Posté le 03/10/2011 à 07:58:02
|
Bonjour Mari-ange : Merci pour ce compliment et cette similitude pointée, ça m'a fait relire l'extrait en question, et c'est vrai qu'il y a des similitudes dans la forme, si ce n'est que j'ai trop attendu pour parler au petit chat pour que la femme du boulanger ne prenne ces mots. Lenigmatique : Ce n'est pas faux, c'est sûr. Sentiments à votre égard |
M-faits  |