Au détour d'un couloir de gare,
Tu étais cachée par ton ombrelle.
Il fallut que tu chutes sans crier gare,
Pour que je vois que tu étais belle.
Tu m'es apparue si fragile alors,
Tremblante, dans ta robe écarlate,
Regardant les blessures de ton corps.
Le sang glissant sur ta peau mate.
Qu'il m'était impossible de m'enfuir,
Alors je vins te porter secours, et
Laissant derrière moi mon train partir
Je t'ai aidé, toi la belle qui saignait.
Il ne me fallut qu'un petit incident
Pour que tu rentres dans ma vie.
Il ne te fallut qu'un petit accident,
Pour que tu puisses donner la vie.
Le hasard est parfois bien cachotier,
En croisant ainsi le fil de nos vies.
Que cherchait-il donc à ainsi nous lier ?
Ce mystérieux hasard qui me ravit…
Mathieu
Écrit par MATHEOSILVIA
Cynique par expérience ! Poète par inclination !Courageux par nécessité ! C'est Moi !
Catégorie : Amour
Publié le 28/09/2010
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Commentaires
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Posté le 28/09/2010 à 16:54:59
Très beau poème. | |
pichounne |
Posté le 28/09/2010 à 17:12:21
Bonjour Mathieu, j'ai aimé cette trame du hasard qui fait changer ta destination de voyage vers un rêve, bises |
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Yuba |
Posté le 28/09/2010 à 19:47:14
Quel bel hasard qui t'a fait loupé un train, pour prendre celui de l'amour ! amitiés Louann |
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louann |