Dans la rue, on me dévisage des pieds à la tête
Et la vie est un souffle qui meurt dans son âme
Ardu est ce visage, qui brise les jours de fêtes
Car ce regard noir attise l'enfer et ses flammes
Pourquoi ce droit à la différence est-il proscrit
N'est-il pas ordinaire d'aimer et d'être aimé
Alors, comme pour hurler ma tristesse, j'écris
Que la prunelle du mal ne vienne plus me brimer
Car cet homme que je tiens par une main ferme
Je l'aime, et je vous l'affirme, pour toute la vie
Alors, comme un aigu silence qui vous la ferme
Je termine cette poésie… Comme j'en ai envie
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