Ma parole est-elle semblable à ton cœur ?
Suis-je un être insignifiant à tes yeux ?
Un fantôme qui ne put faire de son mieux,
Pour tes demandes de toute heure.
Les supplications tombent dans le néant,
Les larmes montent au plus haut sommet,
Mais le sourire forcé est toujours présent,
Pour te satisfaire et ne pas être un boulet.

Tu joues ta vie pour un peu de bonheur perfide,
Je survis dans cette guerre constante,
Pour enfin repousser cette mer ascendante
Et jeter un dernier regard sur ma lacune,
Avant d'annihiler notre seigneur Neptune,
Et être le protecteur de ces lieux avides,
Pour ne plus jamais être leur proie,
Afin de pouvoir ne servir que toi.