La rosée en suspend abreuve le matin
D'une toison émaillée de perles.
Les premiers battements de pas résonnent
Et le bitume s'assouplit au passage des roues.
Les rues de l'ordinaire retrouvent leur teint,
Car c'est dans l'air du temps qui déferle.
La vie se délivre alors, puis s'adonne,
A la liberté retrouvée en dehors du terrier.
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Écrit par Luca
"Il y a celui qui sent avant de manger, et celui qui mange."
Catégorie : Environnement
Publié le 22/09/2020
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Commentaires
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Posté le 22/09/2020 à 18:49:22
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de tout l'ordinaire qui passe rien n'est plus extraordinaire et sais-tu que la tâche ici-bas est telle : faire extraordinairement bien les choses ordinaires au lieu de chercher à être extraordinaire |
justine  |
Posté le 22/09/2020 à 19:04:13
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Bonsoir, J'aime la Beauté du Simple où l'on déniche la Magnificence ! Peintres et Poètes savent les cueillir .. Au Plaisir, Lys.. |
| Lys-Clea |
Posté le 22/09/2020 à 21:42:40
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J'adore ce texte. C'est le début de la vie qui commence comme dans un souffle. Emportée par la lecture. Bravo et merci |
| philomène |
Posté le 23/09/2020 à 09:20:52
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Bonjour Mesdames, Justine, Merci pour votre strophe qui complète merveilleusement bien le propos ! (jolie capeline au passage) Comme vous le soulignez Lys-clea, peintres et poètes savent tirer la quintessence qu'est la beauté des choses simples.. Merci pour votre message, au plaisir également ! Merci beaucoup Philomène pour votre message et votre lecture, ravi que vous ayez pu être touchée par mes mots, Bien à vous toutes |
Luca  |