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Chacun de tes sourires
Est un leurre qui éloigne mes malheurs
Gratifiant pour l'écume de cet océan,
A la surface de mon cœur.
Tes paroles,
Douces comme la flûte de Pan,
Et les tremblements du sol,
Sur le nuage flottant
De mes rêves éphémères;
Tes mots sont des cache-misères,
A mon manque de lumière,
Qui rendent ma vie moins austère
De misères intérieures
Que je vis; qui me font peur.
A croire que l'ombre est un tueur,
Je cherche un bonheur infondé,
Courant vers la fatalité
Bien avant que l'espoir se meurt.
Le noir coule donc dans mon océan,
Tu n'es plus suffisant,
Pour court-circuiter ces mots abatteurs,
Ceux qui, pour l'âme, sont des faucheurs.
A petit feu, je suis consumé,
Par des méchancetés non-décelées,
Et je deviens prisonnier
De l'abîme de ceux qui ont échoué.
Écrit par Louis-palmer
LA ROUE TOURNE
Catégorie : Triste
Publié le 03/04/2009
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Franchement, j'adore: tu emploies mes mots préférés en poésie : abîme, écume, océan,... C'est très très joli ! Amicalement. |
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blueberry |
comme l'océan ton poème est fort de mots qui déferlent ! amitiés Louann |
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louann |