Dans le noir je joue quelques cordes de mandore
Toujours et encore et à présent c'est en vain ;
La passion ne m'éloignera plus des pléthores
Qui font de mon aisance un cruel assassin.
J'ai longtemps cru qu'être incompris me sauverait,
Qu'on en oublierait ces grands habits enviés ;
Ai-je été follet de croire qu'on pourrait
Voir un homme bon sous si grande lâcheté ?
Mais l'attitude ne fait pas tout ; bien souvent,
Ce sont les traces que je laisse qui paraissent,
Et mon cœur se consume à voir qu'assidûment,
On compare ma prétention avec rudesse.
Alors j'ai quitté le monde divin des notes,
Pour découvrir celui de la libre-pensée,
Espérant un jour fuir la richesse, despote
Qui me suit même là où rien n'est effacé.
Et mes écrits jamais ne partent à la dérive,
Encore aujourd'hui ce texte est utilisé
Pour qu'ainsi les penseurs de l'époque décrivent
Ce qui fait que l'image est tant considérée.
2009
Écrit par Louis-palmer
LA ROUE TOURNE
Catégorie : Divers
Publié le 29/11/2009
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j'adore... | |
la_vie_est_nulle |
merci pour ton commentaire la_vie_est_nulle ^^ LP |
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Louis-palmer |
fais plaisir. tout le monde qui sait écrire a droit a un com | |
la_vie_est_nulle |
Moi je la vois ta beauté et ne retourne pas à tes grands habits! Tu ne parais pas comme tu le crois et on ne compare sans doute pas avec rudesse!Reviens nous faire rêver au pays des notes, je commenterais tout c'est promis ! Mais je n'ai pas tes connaissances et parfois certains poèmes il me faut m^ le dico, style pléthores... Ben j'ai qu' un CAP de secrétariat, moi! lol ;) ;) |
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Ecriveuse |
J'ai aimé ! Ce que l'on voit n'est pas toujours ce qui est d'où l'incompréhension... amitiés Louann |
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louann |