Par temps clair,
Vibrant matin,
Printemps d'un vert
Enfantin !
En bleu Matisse,
D'un chant rêveur,
L'âme s'hérisse
Que de bonheur.
En dessin
Sur papier blanc,
Pour un destin
Très ressemblant ...
Ailleurs à la Corbeille,
Evaluation
De l'oseille
En dévaluation !
Vent de l'Histoire,
Histoire des Temps,
Crimes sur écritoires
De cris éructants.
Besoin obscur des hommes,
Des appétits démesurés,
Entre un prie-Dieu et l'Atome
Peut-être un espoir mesuré...?
En ce clair dimanche
Souffle le vent de l'Esprit
Et au bout d'une branche
Le bonheur n'a pas de prix !
Fil invisible
Des bouches à bouches
Et encore moins divisible
Lorsque les coeurs se touchent !
Aux superbes rouges,
Des fièvres telluriques,
Sur des nuits qui ne bougent,
Profondes, loyales, douces, féeriques.
Une nuit particulière en sentiments,
Bien loin d'être immature
Va, par ses grands bouleversements
Troublée à vie, sa première blessure,
Et, attendre en ce grand jour,
A l'aube troublée de silence
L'éblouissant cri d' amour,
Sur une adorable naissance,
Qu'une explosion de lumière,
En ce nouveaux printemps,
Transportera de sa douceur première
Deux coeurs émus de vingt ans !
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