Ombre éclaire, lumière se désespère
célérité malgré, menant a l'aube
manquant l'être, de la bouteille a la mer
ne sombre pas par la tempête
vie de mort, mort de joie
aime la prose, sauve le coeur, vide la peur.
Âme torturé, cherche en elle, faculté
las n'y trouvant que banalité et médiocrité
s'enlace dans les bras de Morphée
trouve tant de rêve, pour se fuir de la réalité
Vie laminé, espoir calciné
culmine au sommet de sa vie fatigué, des repères balayés
tout comme sa vie, oublié
courir de plaie en plaie
ne veux plus s'arrêter
La bouteille a la main, le verre trop plein
le coeur cette fois s'arrête
l'ombre s'éclaire, la lumière se désespère.
Sa vie se perd, a jamais je l'espère, dans un monde plus prospère
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Commentaires
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Posté le 11/03/2013 à 11:04:13
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De la "bouteille à la mer" à la "bouteille à la main", tout un trajet émouvant que tu décris dans ton poème. |
Marouette  |
Posté le 11/03/2013 à 18:56:49
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merci beaucoup :). |
Lord_1  |