Enfermé quelque part, écrasé par le silence.
Quatre murs nous guettant du coin de l'œil.
Sourire ironique, joyeux sadisme de leurs tortures intenses.
Nous haïssant de ne pouvoir contempler le ciel emplit d'orgueil.
Autorité, personnage aigri et laid dorloté par la puissance.
Envie de partir loin d'ici afin de rire de souvenirs passés.
Peur de rater le coche et de tomber dans l'inexistence.
Marcher en arrière pour retrouver le monde de la maturité.
Connaissances déchues bloquées essentiellement dans le passés.
Qui hantent les heures du matin et du soir.
Tristes, insensibles, moindre intérêt et dépravées.
Prison de l'esprit qui cherche la clef et la gloire.
Certaines visites, se changent en savoir et s'y blottissent.
Trônant sur le majestueux siège de la culture.
Intemporelles, passées, présentes et futures, prétentieuses courtisées par la fleur de lys.
Couvrant les nuages noirs blessés et impurs.
Enfin, après la réflexion vient s'installer l'espoir.
L'insalubrité et l'instabilité, lavées, nettoyées.
Rythme traversant frénétiquement le sombre et le noir.
La musique nous montre une once de l'éternité.
Écrit par LizardKing
La chemin de l'excès mène au palais de la sagesse.
Catégorie : Divers
Publié le 11/02/2012
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