Chocolat au lait
La courbe de son sein majestueux,
Comme une richesse s'imposait
A mes doigts l'effleurant, affectueux,
Lentement la magie s'osait.
La chaleur de ce charbon blanc,
Contre ma paume effrayée,
S'esquissait en pleurant
De lourdes perles de lait.
Une peau de chocolat noir
Se serrait dans l'ombre d'un soir
A la tendresse du lit féminin ;
Reniant tout être masculin,
Reniflant les formes abondantes
Du sein calme, de la poitrine saillante.
Écrit par Liberty
"Je est un autre, on ne peut pas dire je pense, mais on me pense."
Arthur Rimbaud Catégorie : Amour
Publié le 14/08/2012
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Commentaires
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Posté le 14/08/2012 à 09:59:14
Chocolat blanc, chocolat, que de fondant ! | |
Odile sire-hervieux |
Posté le 14/08/2012 à 18:23:42
Ça fait rêver | |
Victor Alexandre |
Posté le 30/10/2012 à 16:57:00
A croquer. | |
MARIE L. |
Posté le 30/10/2012 à 20:53:52
Merci. | |
Liberty |