Saltimbanque venait en danse!
Hélas, déjà enfouie de transe,
l'ombre fuyait ma surbrillance,
sa propre destiné en carence.
Je priais malaise sur silence,
sans y remarquer cette balance,
que l'aveugle mis sous ma France.
Couple en or regardait la Jouvence,
leur propre source salit d'errance,
comme l'ennui, tel moi je la pense,
et même la nuit, le fer des ronces.
Écrit par Lenigmatique
Fin d'une époque, début d'une faim. L'or de nos heures, lors des grands jeux, le feu de nos yeux surpasse ta candeur, notre grandeur, puis fin.
Catégorie : Triste
Publié le 14/10/2011
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Commentaires
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Posté le 18/10/2011 à 18:06:33
Souvent des images viennent à moi et tes textes sont prodigues à l'imaginaire, c'est pour cela que fidèlement, je lis ! Même si je bute dans des paysages où le sombre s'étend je vois aussi des lacs endormis et tel un nénuphar, je m'y pose. Amitié |
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