Haut le coeur en marbré,
Fissuré en sept âme damné,
Oeil en vers, divers donné,
S'ajoute en pair, carrelé.
Un bourgeon noir veut éclore,
Sous la lune échapper un sort,
de petit sucre à contre remord,
sur les épines au poison d'or.
Inspiré du joug et des rivières,
d'infime remous jusqu'aux lisières,
aux vents violents pour sa matière,
bien que révoltant de ses manières.
Dans une valse aux mots de musique,
salée de pas qui cherchait lyrique,
condensé d'appât, de destin onirique,
la mer aux tracas qui vous fera rêver.
Écrit par Lenigmatique
Fin d'une époque, début d'une faim. L'or de nos heures, lors des grands jeux, le feu de nos yeux surpasse ta candeur, notre grandeur, puis fin.
Catégorie : Triste
Publié le 08/09/2011
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Commentaires
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Posté le 18/09/2011 à 18:53:00
J'aime, tout simplement. | |
Earwen |
Posté le 12/10/2011 à 23:13:34
J'adore les poèmes qui finissent sur une rime surprenante et sèche. Merci ! | |
Scalpel |
Posté le 22/12/2011 à 23:14:11
Je vous remercie ;) | |
Lenigmatique |