Il y a de ces jours, vous me direz,
Qui parle aux sourds de mots aimés,
De bises secrètes en doigt de fée,
aux aveugles pouvant enfin regarder,
le vent, le ciel, les temps coloriés.
Il y a de ces jours, vous y croirez,
Qui parle de miracle aux gens donné,
de brises parfaite bien sectionné,
qui tend aux proses des gens aimé.
Écrit par Lenigmatique
Fin d'une époque, début d'une faim. L'or de nos heures, lors des grands jeux, le feu de nos yeux surpasse ta candeur, notre grandeur, puis fin.
Catégorie : Divers
Publié le 30/07/2011
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Commentaires
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Posté le 31/07/2011 à 21:38:00
Pas de com's sur untel poème ! Mais c'est une hérésie ! | |
Earwen |
Posté le 31/07/2011 à 22:29:29
J'aime bien laisser les gens un souffle coupé *SORT* (merci o: ^^) | |
Lenigmatique |