Je t'attends dans cette rue,
En cette place, que je connais bien,
Que nous cheminions, presque par habitude,
Cœurs en nos cœurs, et main dans la main.
Je venais juste pour une dernière fleur,
C'est tout ce que j'ai pu trouver,
Pour finir cette histoire, pour me faire moins peur,
Pour ma belle rose qui un jour a fanée.
Boulevard de la vie, je passe trop tard,
Boulevard de l'humeur, je reviens me poser
Je bois mon café, et fume, oui tu n'aimais pas,
Que veux tu, je n'ai personne à aimer.
A tes grands yeux, qui me fixaient tout bas,
A tes belles mains tout contre mon corps,
A ta beauté qui comblait le miroir,
Qui n'aimait plus, ce que je ne su être en homme.
Je ne pourrais dire qui vint en premier,
Est-ce le manque, ou encore l'habitude,
De se savoir loin, sans caresses à donner,
L'une sur Terre, l'autre trop souvent dans la Lune...
Je voulais juste pour toi une dernière fleur
Une pour nous deux, qui vint se reposer,
Tu trouveras amant, qui comblera mes erreurs,
Et qui fera qu'ainsi, tu pourras aimer.
Je venais juste... Mais en fait ce n'est rien,
Je la pose là, au regard des passantes
Qui comprennent qu'au fond, une fleur n'a pas de fin,
Et mon Ombre se traîne, quand tu es en latence.
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amour
Publié le 21/11/2008
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