Vingt et une lumières sur la table, une fille, antan, est née,
Et d'un souffle, balaye, esclave, de ce temps qui est passé,
Autant d'or et de lumière, que de combats acharnés,
Priant Dieu, puis Lucifer, pour son Ame un jour damnée.
Vingt et un, c'est un beau chiffre, un renouveau, donc plein d'espoir,
Et tu bois, et puis tu ris, que demander, sinon la voir.
Des années ont fait besogne, nous étions jeunes, elle était belle,
Mais mon fantôme, j'étais, en somme, plus de place, pour notre rêve.
Une fleur que j'ai écrite, je sais trop simple, mais tout ce que j'ai,
Prends soin de toi, et puis vis, meme trop loin, tu sais ce que c'est.
Vingt et une bougies sur la table,
Pour sept mois de différence,
Tu es vieille, d'accord je farde,
de mon humour encore en francs.
Et s'il te plait, sort toi de là,
Essaye donc de me comprendre,
Car mon ombre n'était pour toi,
Si je ne su être un géant.
N'oublie pas de regarder, par la fenêtre, je serais là,
Sur la place du marché, de mon Etre qui se brade.
Soit toujours bien en toi même, et puis sort toi, du jeu imbécile,
Ou tu te cloue, et nous avec, il y a du meilleur dans le pire.
Un jour peut être tu me verras, je n'aurais pas beaucoup changer,
De la barbe, et le constat, que j'aurais traverser les années.
Et je t'aime, nous sommes quittes, et si je suis un peu en avance,
C'est que je suis resté romantique, même après nos conséquences.
Souffles bien, le grand gateau, et puis fais plaisir à nos mères,
Dis toi bien que si nous étions mômes,
Je ne suis plus de ma poussière.
Et un jour on construira, je le sais ou ça me rassure,
Car si je t'ai loupé une fois, que nous reverrons nos figures.
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 09/02/2009
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