- Le poème n'a pas encore été validé par un modérateur.
J'ai le coeur qui va lâcher,
Et le foie qu'est moitié mort,
Et mes poings qui sont brisés,
De par les sangs, les mauvaises dopes.
C'est la vie et c'est comme çà,
Rien ne sert la littérature,
Il faut un bouc émissaire, ce sera moi,
Quand la faucheuse se cache au mur.
Aiguise ta faux, La Dame en noir,
Sache que je suis gros morceau,
Appelles des potes pour m'avoir,
Sinon c'est moi qui te ferais peau.
La grande faucheuse, tu as aimé,
Depuis longtemps me tordre cou,
Et moi je ris, même enfermé,
Dans ce grand corps aux faux yeux doux.
Appelle des potes, et fait le bien,
Surtout attaque moi dans mon sommeil,
Dans la noirceur d'un de mes dessins,
Et ne rit pas, faut qu'je te prévienne,
Je suis douzième dan de Cérébral,
Alors pour m'éclater la cervelle,
Faudra que tu sortes tes entrailles,
Choisit ton jour, je t'attendrais...
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 17/11/2008
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de Le troubadour au hasard |
Annonces Google |
Beaucoup de rage dans ton poème, j'aime beaucoup, la faucheuse attendra longtemps !!! | |
Véro56 |
Voila qui est bien dit! Et j'espère qu'elle (la Faucheuse) aura compris le message ;) ! |
|
Lucyline |
Je crois que le message est bien passé Troubadour. Belle poésie. Ange de lumière |
|
Ange de Lumière |
Très bien écrit. Sylvain et pichounne. |
|
pichounne |