L'aube s'est tarit de toute sa nuitée,
Qui à l'aurore quitte, sans va pour revenir,
Le lendemain minuit, commun de la beauté,
Qui ne se préoccupe pas de son propre avenir
La pendule se sonne, sans relâche, elle tente,
D'aiguiller le monde pour contempler, immortel,
Le temps qui se passe, et l'humain qui se vante,
De l'avoir dupé par des calculs trop corrects.
Les années se passent, et se signe le tribus,
Une vie et des rides, s'appliquent à apparaître,
Pour certains une faiblesse, pour d'autre la vertu,
D'avoir connu ce monde, d'avoir tirer enseigne.
Dedans leurs cimetières les humains se contemplent,
A effleurer les Ames de quelques devenirs,
Car trop bien cruelle , La mort leur reprend,
Quand la vie se défait, et la messe bien dite.
Devant tous leurs bons dieux, les humains se complaisent,
A savourer entre eux une pseudo vérité,
Qui leur fais asseoir leurs derrières et foutaise,
Se foutent du prochain, et s'amusent à briser.
Et devant ces humains, il n'y a personne,
Notre belle race supérieure, est bien trop imbécile,
Pour comprendre que le monde n'y est pour rien, en somme,
Que c'est cause des humains,, et de leur vantardise.
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 13/11/2008
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Y-a qu'un TroubaDour pour écrire de telles choses, de telles vérités aussi bien! et je suis tout à fait d'accord! Bravo bravo! lol ;) | |
lo |
Très bel écrit. | |
pichounne |