Les amants de la terre
Ô douce fleur, alors que sur le port fluvial,
Les bateaux rentraient d'une journée estivale,
Tu chantais tes sentiments les plus profonds tel un récital.
Nous marchions main dans la main comme des amants,
Moi rêvant de ces mondes dont je te parle tout le temps,
Et toi, si amoureuse tout simplement.
Tu étais embellie par le vent,
Et moi, envoûté par ton amour comme souvent ;
Sentiments éperdus puisés dans tes chants.
Je ne voyais pas qu'avec amour et doute merveilleux,
Tu jalousais la beauté des cieux.
Ô doux amour, tendresse, comment ne pas être heureux.
C'est embellie par la douceur du vent au détour du Triomphale,
Que tu prenais les étoiles comme rivales,
Cependant je t'ai composé ce madrigal.
Ô toi douce fleur, de par la sérénité de notre amour,
Vénus nous adressa tour à tour,
Des trésors emplis d'amour ; sentiment sans détour :
Des ornements et bijoux merveilleux,
Qui vinrent émerveiller tes yeux si précieux,
Et ton visage si gracieux.
Au-delà des constellations planétaires,
Andromède et Orion s'arrêtèrent
Et guidèrent leur âme éphémère.
Et, depuis leurs années lumières,
Admirèrent et jalousèrent
Les amants de la terre.
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Merci Maryloup. | |
Ldoms |
comme dit matyloup c'est un plaisir de lire et relire tout tes poèmes!!! ils sont telement beau... | |
ptite blonde |
très joli poème, bel écrit... | |
MAZBRI |
VRAIMENT TRES BEAU CE POEME, j'ai eu beaucoup de plaisir à le lire. | |
plustout |