Vous chérissiez, Madame, en vous, passionnément,
De l'ourlet de l'aurore aux confins de la nuit,
Les effets décousus, les reprises en veillant
Le tissu de vos rêves orné de broderies.
Par le fil de mes mots et des parfums d'antan,
Je retourne au chemin d'errance en poésie,
À regrets, je vous rends les aiguilles du temps,
Que le bonheur vous comble d'amour et de soieries.
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Commentaires
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Posté le 14/11/2014 à 13:15:13
Merci pour ce commentaire plaisant, marieangehuby Marc |
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