Je me rappelle quand tu marchais à travers cette porte
T'asseyant sur cette chaise
Les moments que nous avons partagés
Juste cette chaise blanche où tu t'es assis
Où ton odeur se trouve
Tu es parti en me laissant cruellement ce silence
Je t'attends avec ce petit café
L'habituel café et ce double expresso
Tu fermes tes yeux laissant couler cette douceur dans ta gorge avec la musique que nous aimions
Mon coeur bat de plus en plus vite
Ces tremblements quand je t'ai rencontré la première fois
Ce café m'aide à me souvenir de cette attirance
Je t'ai toujours aidé à prendre ce sirop
Maintenant je fais cette douceur visqueuse
S'il te plait, ne me laisse pas seule
Dans cette nuit où tout le monde est endormi
Dis moi la vérité, comme hier, je suis un peu en retard aujourd'hui
Et tout ce que nous avons promis, dont tout ce dont nous avons parlé
Tout n'est que mensonge, ne me fais pas tourner autour du pot
Tu n'as plus besoin de moi
S'il te plait ne me dis pas ça
Veux-tu dire que tu me hais maintenant ?
Sur cette vieille table sont gravés nos noms
Mais maintenant allons enterrer nos souvenirs dans le passé
Mais même si j'enterre tout
Cela me reviendra encore, faisant face à ma peur
Mon coeur errant est effrayé
Seule et solitaire, allongée dans cette chambre sans lumières
Je pense à toi, me souvenant de toi, de ce peintre pathétique
Ma seule pièce maîtresse est la tragédie de notre amour
Mon coeur est une galerie d'art remplie que de toi
Sans toi Séoul est un désert isolé
Peut importe quand tu te sens seul
Je n'attendrais toujours que toi
Quand je pense à toi, je crie ton nom
Le café que je t'ai fais, ce marque-page
Peu importe quand tu te sens seul
Je n'attendrais toujours que toi
Quand je pense à toi, je crie ton nom
Ainsi que cette pluie qui tombe
Sur cette maison blanche qui n'appartient qu'à toi, bébé
Écrit par La corneille
Le retour...~
Catégorie : Divers
Publié le 07/05/2011
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bonjour La corneille, "un moment" où le "toi" est dans la tourmente, écrit très émouvant amitiés poétiques |
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