Souvent j'ai prié, sous le vent d'idées noires
L'espoir de pouvoir voir crier, de pitié, le désastreux mal de ma foire
Son carnaval n'emploi ni les clowns, ni les foules, ni la joie, disait-il
Cet endroit pourtant estimé par la foi, en soi destiné à l'amusement
Semble diriger son personnel absent, aux frontières de la faillite
Assagit d'un arrêt temporaire, pour lui, sa modique entreprise fût vite futile
Fragilisé par de fastidieux propos, fidèlement ficelés des sentiments tristes du proprio
Seul ses vingt-deux employés considérés comme de banals visiteurs, savent qu'il ne cherche que l'unique façon de vivre en compagnie de ces contraires
Eux aussi ont une famille
Ce n'est pas facile de constamment revenir au nid sans salaire
Mais ces mêmes, restent fiers d'avoir un jour pu faire, partie d'une fête foraine qu'entraînent, visiteurs et malheureux, à s'oublier dans les manèges
Car qui pense avec douleur, fini nécessairement par ce perdre
La prière, hier chuchotée par un collègue, envers mon propriétaire espère encore
Après 20 ans d'essai, dénicher le verset qui saura vaincre ses problèmes
La rumeurs courent que le patron serait un poète avoué
Voué à marcher son parcours afin d'arriver à bien analyser le sens de ses responsabilités
On le dit habillé d'habiliter hors-norme, il parait
Ces épaules portent un costume orné d'une atroce force, il parait
Son sort souillé, soumis à la sordide somme dépouillée des choses qu'on dit leur lui
On fait de lui, c'qu'on à dit de lui, il parait
Sommes nous ce que nous sommes, où sommes nous la somme de ce que les autres pensent que nous sommes
Mon paranoïaque patron paralyse l'effet de fête
Personne n'a vue sa tête plaider un sourire honnête
Au travers de la fenêtre de son bureau depuis des traites
Nous avons besoin d'un modèle, s'il te plait, dites-lui de suivre la lumière
Ce complexe poème émerveillera celui qui sait lire entre les vers
Adore tes revers autant que ton être te le permet, l'humain n'est pas mauvais, il est imparfait
Lorsqu'on pleurera ma perte, je serais enfin prophète, mais présentement
Je ne peux que vous dire, je t'aime