Et des yeux qui sont cernés d'couleur,
Une petite taille, qui passe partout,
Ca fait contraste, avec sa peur,
De n'pas suffire, et c'est le flou.
Intelligente, elle l'est c'est sûr,
Bonne déductrice, Oh pas toujours,
En s'inquiétant de c'qu'pense le mur,
Et d'ce miroir, qui la dédouble,
Peur de ce monde, ce n'est pas l'mot,
Disons qu'sans doute, elle s'en méfie,
A des traitements pour tout symptôme,
Et elle s'trouve pas jolie fille,
Des p'tits soucis, et des tracas,
Vous me direz, comme tout le monde,
Quand tous les hommes autour se fardent
Et qu'elle sait que bien souvent elle s'trompe,
Une gentille, je dirais même,
Une mignonne qui a peur de tout,
Pas de confiance toujours en elle,
Et puis ce monde qui toujours tourne.
Elle se demande, ce qu'est cette vie,
Et puis prépare de grands projets,
Dedans ce texte, j'vous la décris,
La p'tite qui a peur, mais qui n'devrait.
Écrit par L'Autochrone
L'humain est une équation dont il est son propre inconnu.
Catégorie : Amitié
Publié le 20/08/2010
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de L\'Autochrone au hasard |
Annonces Google |
Charmant. :) | |
VirginiaPaz |
délicieux portrait, j'espère que ces mots vont la rasséréner, amitiés et bonne nuit | |
flipote |
Trop de confiance ce n'est pas bon mais pas assez peut tout simplement gâcher une vie. | |
Belya |