Petites plumes qui grandissent,
Pures et douces comme la nuit,
Elles qui se flétrissent à chaque contact,
Fuis, fuis la menace que la vie te pose,
Laisse les battre, libres et fières,
Légères, telles que le loup qui s'étire,
Bondissent à ta rencontre et t'étreignent.
Douce chaleur de printemps,
Toi qui éclaire ma vie,
Laisse moi illuminer tes soupirs.
Écrit par Kotias
Et sa main, telle le lamentin, s'échoua misérablement sur la table...
Catégorie : Amitié
Publié le 20/06/2012
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de Kotias au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 20/06/2012 à 21:42:58
On se demande bien à qui s'est adressé ! C'est chou. Et en effet, pas mal d'expressions détournées et mélangées, ce qui donne cette dimension "surréaliste" à l'ensemble. |
|
Orpheus |
Posté le 22/06/2012 à 22:53:33
En tout cas, tel quel c'est goûteux, gouleyant, léger aussi comme plume d'oiseau ou d'ange, quelque chose de rare, d'inconnu, de salubre. C'est comme le vin d'Arbois, que, plus qu'on en boit, plus on s'tient droit. | |
flipote |