Je regarde l'horizon, au loin, avec ce paysage
Où l'arbre qui le domine est désarticulé.
La plume limpide qui crayonnait mon langage,
S'est dissoute dans un acide maculé.
Ma poésie se morfond sur sa chaise à bascule,
Se désintègre d'être incapable d'enfanter.
Elle ne renaît qu'à chaque fois qu'elle copule
Avec le savoir et la substance prohibée.
Mon débit n'est plus celui de l'Amazone,
Se satisferait du paisible cours d'eau.
Au-delà de mon esprit et de la couche d'ozone,
Je glapirai mon envie de retrouver le galop.
Je sculpterai des ébauches de rimes écorchées,
Pour me souvenir de l'abécédaire.
Et je signerai d'une encre motivée,
Mon retour gagnant parmi les lapidaires.
Écrit par Kama
Je ne renais qu\'à fois que je copuleavec la poésie.
Catégorie : Amitié
Publié le 23/05/2012
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Posté le 23/05/2012 à 15:31:12
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