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Il y avait trop de pierres dans les villages
Tant d'orbes s'écoulaient en plis et
Mordaient en silence son milieu
Quand le ciel antérieur
Frissonnait la taille en ruban de soi
Et des yeux dans la lumière,
- Des tournesols et leurs graines, peut-être -
Glissant le long de livres
- D'or
Il y avait trop de pierres dans les villages
Pour que dorme la mémoire
Écrit par Juliet
Nous nous touchons, comment? par des coups d'aile,
par les distances mêmes nous nous effleurons. Un poète seul vit, et quelquefois vient qui le porte au-devant de qui le porta. Mai 1926 - de Rilke à Marina Tsvetaev Catégorie : Divers
Publié le 31/12/2007
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Commentaires
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Posté le 31/12/2007 à 21:37:04
Joli ! | |
Alexandre-glaucos |
Posté le 09/01/2008 à 21:17:27
J'adore le style ! | |
Mider |