Que se soit ironie ou révérence
Mes pensées poussent les murs
Imbriqués d'une inconscience
Qui se connecte au fil optique
Et passe par ma tête
Un abandon sans borne
Qui me conjugue à tous les temps
J'en oublie les sens
Les yeux grands ouverts
L'amour comme jeu essentiel
Tu es sur mes épaules
Une force reposante
Ton destin te sourit
Le mien te suit
Un cœur ailé a davantage d'air
Qu'un bâillonné
Il en est la volupté
Voilà le rideau qui tombe
Laissons-nous deviner nos pensées
À l'intérieur
Il y a autant de soleil que de pluie
La poésie m'a capturé
Écrit par James Px
« Une poésie n'est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. » Textes sous Copyright numéro 00048772-1 - jamesetmots.blogspot.com
Catégorie : Pensée
Publié le 11/05/2019
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Commentaires
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Posté le 12/05/2019 à 16:08:16
D'une pensée à l'autre , s'enrichit la page de ses forces de ses couleurs et ses émotions ... Bravo James ! |
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Yuba |
Posté le 13/05/2019 à 10:40:11
ton inconscience enlie les murs de briques poussés par les pensées semées à leur pied tu surréalises ce que jadis et naguère tu parallélisais ..... caught by poetry |
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marinette |