À la verticale
Au bout de mes mains
Un dolmen de granit
Symbole de puissance
Et de foi
Maintenant
Lentement s'affaisse
Disloqué
Amoindri
Déchu
L'eau glauque
Envahit son couloir souterrain
Ses chambres funéraires
La terre spongieuse l'aspire
L'attire vers l'irrémédiable
Engloutissement de l'oubli
À l'entour
La nature aux forces renouvelées
Semble perpétuer l'élan de la vie
Des grandes arolles
De la prairie
La foi de l'homme
A déserté la pierre
Et la pierre peu à peu
Retourne au néant
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Écrit par James Px
« Une poésie n'est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. » Textes sous Copyright numéro 00048772-1 - jamesetmots.blogspot.com
Catégorie : Divers
Publié le 18/04/2013
|
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Commentaires
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Posté le 19/04/2013 à 02:32:04
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si la foi de l'homme a déserté la pierre que reste-t-il alors dans le coeur de l'homme? belle poésie James px...amitiés zeste |
zeste  |
Posté le 19/04/2013 à 13:23:51
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Pour mieux renaître... |
Naoned  |
Posté le 19/04/2013 à 17:43:56
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la grandeur se pare aussi un jour du temps... |
| MARIE L. |
Posté le 20/04/2013 à 15:16:27
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Zeste il ne reste que l'amour brut |
James Px  |
Posté le 23/04/2013 à 10:18:13
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Pour mieux sentir que l'on a été que l'on n'est plus et que l'on n'est pas seul |
| James Px |
Posté le 19/06/2013 à 19:54:54
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MARIE L où le temps affaisse et élève |
| James Px |
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