Comme il est doux mon amie
De marcher seul dans l'obscurité
De n'avoir pour simple duvet
Que la voûte des cieux pailletés
Que la chaleur d'une nuit d'été
Ah! Ma tendre et chère amie
S'il n'était que vous et le silence
Je pourrais sans perdre patience
Subir chacune de vos sentences
Me vouer à toutes vos errances
Las! il n'est point d'heure que je vis
Sans mourir de votre absence
Sans rêver de votre présence
Est-ce donc là l'infamie
Que de ne vouloir que le linceul
Si je ne puis vous avoir pour moi seul?
Écrit par Iraenocte
Les chiens ont des puces, les Hommes des emmerdes. C. Bukowski
Catégorie : Amour
Publié le 11/02/2009
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Commentaires
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Posté le 11/02/2009 à 21:44:22
magnifique poème....un vrai plaisir | |
nicky |
Posté le 11/02/2009 à 22:56:35
Très bel écrit né d'un dilemme... | |
Alexandre-glaucos |
Posté le 11/02/2009 à 23:12:08
Un dilemne peut etre, une utopie sans aucun doute. Merci de votre passage à tous les deux. |
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Iraenocte |