A une inconnue, que je n'ai pas vue
A une femme, qui fit reprendre la flamme
J'aime ton nom mais ne le connais point
J'aime ta voix, l'aurais-je entendu ?
Non... Et pourtant elle fut si proche
Lorsque que nos vers se rapprochent
Que j'en entends déjà le blâme :
"Traître ! Tu pourrais avoir soin,
De faire honneur à ma lecture"
Je l'ai aperçue !
Mais dans la nuit la demoiselle a disparue...
Froidures et douleurs perdure en mon cœur.
Souillures et peurs de cette liqueur,
Aurais-je rêvé cette aventure ?
Écrit par Iraenocte
Les chiens ont des puces, les Hommes des emmerdes. C. Bukowski
Catégorie : Amour
Publié le 10/02/2009
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Commentaires
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Posté le 10/02/2009 à 23:57:01
Il est parfois difficile de mettre un nom sur un rêve, tout comme sur une erreur instantanée. Beau poème. | |
breve-reflexion |
Posté le 11/02/2009 à 00:18:15
Merci | |
Iraenocte |
Posté le 11/02/2009 à 03:14:09
hm... qu'il s'agisse d'un rêve ou non, il est plaisant vraiment de lire cette nouvelle flamme... merci donc à elle, et à toi pour ces vers |
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LolaLilla |
Posté le 11/02/2009 à 04:13:59
Quand bien meme le feu est éteint il reste toujours une petite braise bien caché qui ne demande qu'a s'embraser. enfin j'espère. | |
Iraenocte |
Posté le 04/02/2013 à 19:18:12
:) très beau poème. merci pour ce moment passé à le lire. | |
melli |
Posté le 04/02/2013 à 23:01:08
De rien. ^^ | |
Iraenocte |
Commentaires
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