«
Lèche-bottes, menteur qui flatte le seigneur.
Le chevalier sans peur, le héros au grand cœur.
Bras droit du souverain de qui je prends les ordres,
Pour châtier les malins, mettre fin au désordre.
Je respire et je mens car je hais ce sultan,
Au règne méprisant et aux mœurs de dément.
J'attends, je fais le guet, conspire sans regret,
Attendant en secret que le plan soit fin prêt.
Et convoitant la femme, et convoitant la place,
Je prends soin de ma lame, pour un jour faire face.
J'achète les amis, qui serviront de leurres,
Met fin aux ennemis, immondes colporteurs.
En attendant, servile, en attendant, docile,
Cachant mes pensées viles en tissant tout les fils.
Je me fais mécréant, marche-pied du géant,
Genoux à terre devant le Roi que je hais tant.
Je me tais à la cour, évitant le gibet.
Bientôt viendra mon tour, à moi qui suis Valet. »
Écrit le 30/11/09
Écrit par Hellwing
J'ai un trous à l'intérieur est ce normal ?
Je ne peux le combler, ça fait mal. Catégorie : Divers
Publié le 31/03/2010
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Supebement mené ton poème une grande force et beaucoup de douceur Amitié Michel |
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l'ange sans ailes |
Une bonne intrigue. | |
eric |
bonsoir Hellwing, cela m'a fait penser à ce vizir qui veut être calife à la place du calife ton écrit est magistralement écrit, le fond et la forme, tout y est bien à sa place, ce fut très plaisante lecture à te lire |
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marie-ange-old |
moi aussi , marie ange j'ai tout temps pensé à jaffar l'infect vizir faux derche et inquiétant des mmllebet unes nuits,,, ton poème est très réussi!!! Hellwing!!! bravo,,, | |
flipote |