Je n'avais peur de rien pour nous.
J'étais si sûre, c'est fou.
Mais toi,
Dis-moi :
Combien de temps cette poésie encore ?
Combien de sourires fugaces ?
J'ai peur, mon ventre se tord...
J'ai peur parce que le temps passe.
Combien de fois encore te reverrais-je ?
Qui seras-tu quand je te retrouverai ?
Ces angoisses pèsent sur ma conscience désormais
Et ce n'est pas ton silence qui l'allège.
Qui aimeras-tu ?
Quand tout défilera trop vite, quand tu feras ta vie ?
Aimeras-tu encore cette fleur épineuse que je suis ?
M'aimes-tu encore dans mes folies, dans mes replis ?
Dis moi, que deviendrais-je quand ce que nous sommes aura fui ?
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Commentaires
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Posté le 24/06/2015 à 13:45:52
J'aime. Bravo et merci. | |
Poesie nocturne |
Posté le 24/06/2015 à 15:02:42
Contre les mots d'estomac Il n'y a pas le feu au lac cependant Sans être mourant l'amour n'est pas le plus tendre antibiotique Ni le plus doux diurétique de toute manière il faut se mettre au vert Car seul l'amour a le poids de la terre |
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James Px |