Un père qui est parti trop tôt,
Une mère faisant trop de sacrifices,
Un fils ayant trop de défauts,
Dont la vie n'est qu'un simple supplice
L'amour d'une mère est indomptable
Et pousse l'enfant à vouloir vivre
Seul il n'en serait pas capable
Si elle part il voudrait la suivre.
Mais il sait bien qu'il ne faut pas
Penser déjà aux grands adieux
Et c'est pour ça qu'il commença
A devenir un être joyeux
Pas une fausse joie, pas de mensonge
Pas un faux pas, plus rien ne le ronge
Je vis une vie de bohémien
Et à ce jours je regrette rien.
La morale de l'histoire ?
La vie est un livre possédant un début et une fin,
S'il n'y avait pas de contenu,
C'est comme si,
Au milieu, il n'y avait rien.
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Commentaires
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Posté le 02/02/2018 à 23:24:49
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Bienvenue à nouveau, HM ! J'ai lu vos anciens poèmes, et je vous souhaite de réaliser vos vœux ! |
jacou  |
Posté le 03/02/2018 à 00:37:04
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J'adore ! Un beau poème qui ne sonne pas creux, Merci HM. |
suane  |
Posté le 03/02/2018 à 02:54:47
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C'est, fluide, émotionnel, puissant. J'ai aimé cette lecture, bravo HM |
grêle  |
Posté le 12/02/2018 à 07:29:04
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J'ai été absent pendant 4 longues années. Me voici majeur et en toujours en bonne santé. Je vous remercie pour vos commentaires Suane, Grele et à toi aussi Jacou. Sachez que en ce jours du 11 février 2018. Je sors de mon deuil, le prochain poème que je publierais dans les instants qui suivent parle de moi et de moi seulement. C'est une chose que je fais rarement. Dans ce poème je présentais le livre qu'est ma vie. Maintenant je l'écris petit à petit. |
| HM |