La mort me guette au loin les ombres persistent
Sans que ma vie ne s'attache à l'incandescence
De mes sentiments, las, sans grande insignifiance
Me laissant seul, désappointé, tel attentiste
O repos éternel, le trépas nous accable
Et mon âme vaincue rend les armes de guerre
Muse de mes pensées, va, demande à Cerbère
De laisser s'enfuir un poète vulnérable
Mais hélas, enfin, le défunt s'en est allé
Avec lui des souvenir il a emporté
Pour souffrir en silence aux portes des chimères
Inerte, agonisant, son âme s'est enfuie
Elle atteint les ténèbres et enclave l'esprit
Pour en chercher la vie, elle en sort singulière
Écrit par Guillaume Brisare
Tel volatile quittant sa mère, flâneur je fuis
Libre Calme Affranchi Catégorie : Triste
Publié le 19/02/2011
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Commentaires
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Posté le 19/02/2011 à 16:52:23
Un poème bien sombre, bien rendu ... Bienvenue à toi ! |
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Nighty |
Posté le 19/02/2011 à 18:24:07
Un poème sombrement triste ! bienvenue Guillaume Amicalement Louann |
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louann |